Chantier « Marcher sur l’eau blanche » / Jour 2
Deuxième jour de chantier sur la prairie de Keravilin. Noémie Abgrall, Loïc Perrenou, Lola Guezennec et Baptiste Richez, étudiant.e.s à l’Ecole européenne supérieure d’art de Bretagne-Site de Brest (EESAB) et la plasticienne Marie-Michèle Lucas, également résidente au sein du projet De la nature organisé par l’association Espace d’apparence, sont de nouveau présent.e.s pour m’aider à construire la sculpture vivante « Marcher sur l’eau blanche ».
Les perches étant placées, il s’agit aujourd’hui de les relier entre elles par des traces en brins de saule tressés. Travail de patience qui demande une certaine concentration.
Le sol dans la partie au fond de la prairie est complètement détrempée ce qui ne décourage pas les travailleurs et travailleuses.
Les passant.e.s, joggeur.se.s et promeneur.euse.s intrigué.e.s, les résident.e.s du quartier surpris.e.s et sans doute un peu inquiet.ète.s, me questionnent. Plusieurs pensent que nous construisons un enclos à moutons.
Marie-Michèle Lucas nous apporte quelques victuailles en milieu d’après-midi !
Surtout nous voyons la sculpture « Marcher sur l’eau blanche » prendre forme.
En fin d’après-midi, nous avons terminé !
Les visiteur.se.s pourront observer « Marcher sur l’eau blanche » du chemin qui longe la prairie humide de Keravilin ou s’y aventurer pour s’approcher de l’installation et marcher entre les deux bordures, comme s’il.elle.s traversaient l’étang enfoui.